Dimanche 24 avril 2016

VIVEMENT L’ÉTÉ !
Notre randonnée annuelle des Asperges approche à grand pas. Tout le club sera sur le pont le 22 mai pour recevoir comme il se doit nos voisins cyclos. Donc pas de vélo ce jour là. Mais alors, quand pouvons-nous profiter des parcours dessinés avec passion et qui contribuent largement à la réussite de cet événement ?
Ce dimanche 24 avril, le calendrier était vierge de tout rendez-vous extérieur. C’était l’occasion de partir sur nos traces. Ainsi, ce matin, nous étions 7 devant Monoprix pour nous lancer sur le 85 km. Dès le départ, les paris sont ouverts : passerons-nous au travers des gouttes ?
Peu importe, avançons… La côte de Montlignon est presque une « formalité ». La traversée de Moisselles se fait sans encombre malgré son vide-grenier. Le groupe progresse… Mais où est passé Yves ? C’est alors que Dominique, retardé par un ennui mécanique profite du moment pour intégrer l’équipe. Viarmes franchi (sans pause café, au grand désespoir de Nadir) nous voilà déjà au Lys-de-Chantilly. Malheureusement, Marie-Louise n’est pas là pour nous accueillir avec le ravitaillement. Il faut continuer. L’abbaye de Royaumont se profile à l’horizon. Nous en profitons pour quitter la départementale et nous octroyer une petite variante touristique en contournant ce site magnifique. De retour sur le parcours original, nous retrouvons Yves qui, toujours à son rythme maintient le cap. Arrivés à Précy-sur-Oise, ils nous faut se décider sur la direction à prendre. Dominique, motivé, s’oriente vers Saint-Leu-d’Esserant et le 100 km. Les autres persistent sur le 85 km mais la montée vers le pays de Thelle se mérite. D’autant que la pluie commence à faire son apparition. Heureusement, le bar de Crouy nous offre l’hospitalité. Remotivé, nous remontons en selle pour le retour vers le Val-d’Oise. Encore un petit détour par Fresnoy-en-Thelle et direction Beaumont et Presle. La pluie redouble, nos vêtements commencent à ne plus être étanches. Vous connaissez tous ? Si, vous savez quand petit-à-petit vous sentez l’eau s’infiltrer insidieusement sous vos protections soit disant imperméables. Cela n’empêche, il faut accélérer le train. Un dernier regroupement une fois passé la descente des « cars roses » et c’est le coup de rein final vers Argenteuil où tout le monde est bien contents d’aller se mettre au sec.

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